LA TERRE MÈRE, L’ÉNERGIE FÉMININE
Gaïa, Patcha mama, la terre mère nous relie au féminin sacré et à l’environnement. La terre à ses cycles, les femmes aussi. De nombreuses fêtes sont liées au fil des saisons à la nature, aux solstices, mouvements lunaires, solaires, aux moissons, aux récoltes…
De tout temps, l’être humain à créer des représentations, des déités à l’effigie de ce qui l’entoure, de ce qui rythme la vie, les sociétés. Les premières représentations féminines étaient dédiées à la terre, la fécondité, la nutrition, la créativité, l’amour et la mort. La terre donne, reprendre, par le biais des cycles, ou d’élans destructeurs.
Cette force « féminine », symbolisée en Déité, représente généralement une matrice qui engendre d’autres forces par la fertilité créatrice, l’intuition, la sensibilité. Le féminin met en mouvement, et crée dans la matière, avec le corps et l’esprit. Elle s’exprime par la naissance, la végétation, la mère nourricière, garante de la survie et de transmissions pour chaque espèce.
L’émergence ou le retour de cette énergie féminine aujourd’hui est visible, à travers les combats de genre et d’égalité homme, femme, mais également à travers la considération de notre environnement, et des luttes de préservations de la terre et de son équilibre.
Il est essentiel que la puissance féminine reste fertile et créatrice, pour proposer un équilibre, une équité, une complémentarité des polarités homme/femme, au service de l’ensemble.
Apporter plus de douceur, de compréhension, plus de solidarité vers un respect du vivant est le possible chemin d’évolution de nos sociétés.
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